Avec Benoît Hamon, les coulisses du PS un jour d’élection
La veille, il a respiré. Se réveiller à 10 heures, regarder une série danoise, assister à un match de basket, tweeter « Suzanne » de Joan Baez et rire parce que les militants de droite y voient du « militantisme subliminal ». « Suzanne, subliminal ! » Et puis porter encore un peu la parole socialiste à la caisse du supermarché et convaincre deux indécis. « Deux ! »